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RÉACTION DE LA FÉDÉRATION DES CÉGEPS AUX PROPOS DE L’ADQ SUR L’ABOLITION DE LA FORMATION PRÉUNIVERSITAIRE : UN DÉBAT STÉRILE ET D’ARRIÈRE-GARDE
RÉACTION DE LA FÉDÉRATION DES CÉGEPS AUX PROPOS DE L’ADQ SUR L’ABOLITION DE LA FORMATION PRÉUNIVERSITAIRE : UN DÉBAT STÉRILE ET D’ARRIÈRE-GARDE
Montréal, le 27 novembre 2007 – La Fédération des cégeps considère que les propos qu’aurait tenus hier soir M. Gilles Taillon, adjoint au chef de l’Opposition officielle, sur l’abolition de la formation collégiale préuniversitaire sont dépassés et d’arrière-garde.
La question a été réglée en 2004 lors du forum collégial, à l’issue duquel le gouvernement a pris la décision de maintenir et même de renforcer le modèle actuel des cégeps, qui répond aux besoins de la population québécoise. À deux autres occasions, soit en 1996 lors des États généraux sur l’éducation, et en 1993 lors de la réforme de l’enseignement collégial, les gouvernements alors en poste ont également choisi de refaire le choix du collège québécois.
« Le modèle du cégep, où cohabitent la formation préuniversitaire et la formation technique, sert très bien le Québec. Comme établissements et comme réseau, les cégeps sont ancrés dans leur milieu et résolument tournés vers l’avenir. Ils travaillent activement à augmenter leur impact sur le développement social et économique du Québec, avec des actions ciblées et vigoureuses dans plusieurs domaines », a affirmé M. Gaëtan Boucher, président-directeur général de la Fédération des cégeps.
C’est d’ailleurs dans la perspective de toujours mieux remplir leur rôle névralgique dans la société québécoise que les cégeps souhaitent obtenir à court terme 40 % des transferts fédéraux en enseignement postsecondaire, soit 75 M$. Ces nouveaux investissements leur permettront d’élargir la portée de leur action et d’en améliorer les retombées.
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